Sigmedic

Hack'n Geek

Ma vie

Celui qui a envie d'écrire

Le 28 mars 2024 / Aucun commentaire

Parmi les choses qui figurent sur ma liste des "Choses à faire avant de mourir", écrire un roman en fait parti.

J'ai commencé à apprécier la lecture avec le seigneur des anneaux à l'age de 13 ou 14 ans. J'ai été fasciné par les nombreuses cartes de la terre du milieu, sur lesquelles je suivais le parcours de chaque protagoniste. Et d'une manière plus générale, tout ce que Tolkien a posé pour donner de la profondeur à son récit comme les arbres généalogiques des différentes familles des Hobbits, les chants et poèmes et même la création de la langue elfique donne une cohérence que j'ai rarement relue ailleurs.

En ça, l'esprit humain n'a pas de limite et lorsque cette envie d'écrire à commencer à se sentir, je ne savais pas par où commencer. Puis, je suis tombé sur un documentaire de JK Rowling qui décrivait la période de sa vie dans laquelle elle a écrit la saga d'Harry Potter et, notamment, comment elle a utilisé différents aspects de sa vie ou de son entourage pour écrire les fondations sur lesquelles ériger son œuvre. Et j'ai trouvé ça tellement naturel, qu'il était évident que je devais moi aussi aller dans cette direction. Ça va faire presque trois ans que j'ai regardé ce documentaire et depuis je construis petit à petit mon univers dans lequel se déroulera mon histoire. J'essaie d’intégrer les thèmes qui me tiennent à cœur, d'y mettre un peu des bouts de moi qui font qui je suis. Et plus j'avance, plus je me rends compte que j'ai besoin de décrire tout cet univers en avance avant de commencer les premiers chapitres. 

Par exemple, quels seront les noms des personnages, mais également des lieux, et pour ces derniers, il faut une géographie qui serve à la chronologie des événements passés et futurs. Il faut que l'ensemble tienne la route et paraisse vraiment fluide au point que ça ne peut pas être autrement. Pas facile de faire tout ça dans sa tête, sans rien griffonner ou exposer à plat pour fructifier ses idées.

Afin de concrétiser mes pensées, j'ai besoin de faire une carte de ce monde qui commence à grandir de plus en plus, besoin de le poser dans le but de prendre du recul. J'ai commencé à dessiner dans les coins de feuille, mais j'ai envie de figer un peu tout ça. En cherchant sur internet, j'ai trouvé un site d'un passionné de cartographie. Il s'agit de l'excellent site cartogriffe, et cela tombe bien, car l'auteur a écrit un article détaillé des éditeurs utilisables pour designer sa carte. J'en ai essayé quelques-uns et je suis absolument inspiré par wonderdraft mais aussi par l'outil en ligne watabou pour les cartes de régions ou de fief. Bref, je vais pouvoir m'amuser bientôt avec tout ça et pourquoi pas partager ici mes créations ?

J'ai également fait un peu recherche sur la méthodologie pour écrire, ce que peuvent m'apporter les LLM « large language models » dont le plus connu au moment où j'écris est ChatGPT. Après de rapide recherche, on comprend qu'il n’y pas de grand principe et que la méthode qui va bien est différente pour chacun. Il en existe cela dit une qui revient constamment pour écrire et développer un roman de manière efficace, comme un équivalent à un framework en quelque sorte. Je pense à la méthode dite du “Flocon de neige” mais je n'ai pas la prétention de faire aussi bien qu'un écrivain. Je souhaite juste me plonger dans cette expérience, de faire émerger de mon esprit une œuvre qui soit suffisamment intéressante pour avoir le désir de la transmettre à mes enfants.

Stockage numérique, quel support choisir ?

Le 22 mars 2024 / Aucun commentaire

18 mars mon DD de 1 To est définitivement mort, après 2 ans de services. Ce n'est pas énorme deux ans, quand je dis services, j'évoque le temps d'utilisation, c'est à dire le temps que le disque dur a réellement tourner. En réalité, ce dernier est réellement plus vieux évidement, mais il ne doit pas avoir beaucoup plus de 4 ans, ce qui n'est pas énorme au final.

Bref beaucoup de volume de données partis en fumée, je l'ai vu arriver, car j'utilise de temps en temps un logiciel pour connaitre l'état de santé de mes disques durs. Il s'agit de CrystalDiskInfo qui effectue une analyse en profondeur des disques durs connectés sur l'ordinateur de l'utilisateur. Pendant le scan, il récolte toutes les informations qui peuvent concerner le matériel. Informations S.M.A.R.T., identifier les codes erreurs et donne un rapport finale de la santé du DD. La semaine dernière quand j'ai vu que l'état du disque indiqué prudence, j'ai tout naturellement commencé à faire une copie des fichiers sur d'autre support, essentiellement les disque durs présents dans la tour en réalité.

Ca m'a poussé, une fois de plus à réflèchir aux supports utilisé pour archiver ou stocker mes données. En 25 ans j'ai vu plusieurs formats passés et on nous sommes vite confrontés aux soucis du stockage. Rien n'est fiable a 100%, par conséquent l'unique moyen de garantir une sauvegarde viable est de multiplier les copies sans qu'elles soient au même endroit physique (pas sur le même disque dur, ni la même tour voire le même logement...)

Jusqu'à présent j'utilisais donc un gros disque dur pour archiver et un serveur distant pour une deuxième copie en m’assurant de faire une synchronisation de temps en temps. Mais localement, pour prolonger la validité de mes données archivées, je pense que je vais changer de méthodes. En réalité, j’accède rarement aux archives (photos de famille, screens, projet de site web....) et au finale je n'ai pas besoin qu'ils soient disponibles tout le temps, un support amovible me suffirait pour les stocker ( voir plusieurs) d'autant plus lorsque je vois le prix des SDD ou autre clé USB c'est faisable à moindre prix.

Je penses n'avoir besoin de 250 GO pour tous mes fichiers perso, les mois à venir je me construirai donc des copies amovibles de mes archives et laisserai a disposition dans la tour uniquement les fichiers que je peux retéléchagrer en fonction des besoins. 

Upgrade du PC

Le 18 mars 2024 / Aucun commentaire

Ce week-end, j'ai mis à jour la configuration de mon PC et je voulais faire un petit retour rapidement, mais avant retour en arrière. Mon ancienne configuration a été quasiment entièrement renouvelée en 2020, où j'avais remplacé la carte mère pour un socket en AM4 de Ryzen. J'étais ainsi passé d'un intel i5 2500k à un ryzen 1600 AF, et de la DDR3 vers de la DDR4. Puis fin 2021 ou début 2022 je ne me souviens plus très bien, j'ai changé ma carte graphique, une nvidia 960GT pour une RTX 3060. 

Et donc depuis peu, je viens de remplacer uniquement le processeur par un 5600X, ce qui me permet de mettre à jour ma configuration pour quelques années. La transition s'est bien passée, après avoir flashé le bios de la CM pour accepter le nouveau processeur. Le boost s'est fait vite ressentir dans les jeux CPU dépendant où j'ai presque doublé les FPS (minecraft java, world of warcraft) bref c'est cool et toujours agréable d'avoir la sensation d'avoir un nouveau jouet entre les mains. Honnêtement, le 1600AF faisait encore le taf, je n’étais pas à la ramasse et pouvais jouer relativement confortablement avec parfois des grosses variations de FPS mais tolérable. J'ai voulu changer car le socket AM4 arrive en fin de vie et on peut encore trouver neuf, des bons processeurs qui coutaient encore un bras il y a 2 ans.à désormais moitié prix. De plus je savais que parfois la RTX 3060 était bridé. Bref, à 160 euro même pas, il était dommage de ne pas se faire plaisir et de prolonger dans de très bonnes conditions la configuration actuelle.

Et je dois dire une autre chose. Jouer au PC dans de bonnes conditions coute depuis 5 ou 6 ans beaucoup moins cher qu'il y a une petite vingtaine d'année. À l'époque, l'évolution du matériel était tel qu'il était quasiment obligatoire de mettre à jour son PC pour faire tourner les jeux dans la résolution standard d'avant (1080p était déjà énorme) à 60FPS constant. J'ai pu tenir avec mon petit i5 jusqu'en 2020, le processeur m'a tenu quasiment cinq ans incroyable et le 1600AF quatre ans, c'était inimaginable avant.  Même chose pour les cartes graphiques, sur des résolutions à 1080p ma 960GT me permettait de jouer aux nouveaux FPS correctement, et maintenant la RTX 3060 avec le 5600x me permettront d'être tranquille pour facilement deux ans, voire trois ans, je pense.

Je pense que la durée de vie des générations des consoles qui s'est allongée, a eu un impact sur les jeux PC également. Les dev, restent sur une config type et rare sont les jeux qui demandent des configurations de folie pour vraiment en profiter. De mémoire, je pense qu'a Cyberpunk 2077 qui pouvait rendre jaloux et nécessitait une bonne machine. Mais encore une fois mise a part quelques exceptions comme celle là, tous les autres titres tournaient correctement (c'est-à-dire joliment tout en étant fluide sur un écran de 24 pouces).

Au final, je pense que tous les 2 ans, je change une partie de ma config pour 200 euros. Alors qu'il y a 20 ans, nous étions plutôt aux alentours dès 200 euros par an ! En 2024 c'est cool de jouer sur une tour, et on peut même désormais se poser la question du choix, tour ou portable, car là aussi, l'évolution des technologies permettent de profiter du portable pour grosso modo 1000 euros avec la possibilité de mettre un peu à jour la config (SSD, RAM) et ainsi tenir un portable gaming 5 voire 6 ans.

Au final, petit weekend end d'upgrade sympa avec une petite négligence de ma part lors du remplacement du boitier. J'ai mon ancienne qui a duré plus de 10 ans et il était temps de la changer, car elle ressemblait plus) un ramasse poussière qu'autre chose. Et la patatras, je n'ai pas fait attention, mais la tour de seconde main que j'ai choisie (d'apparence très bien) n'a aucun filtre antipoussière Oo. Là par contre, je ne m'y attendais pas. J'ai trouvé de quoi en installer facilement, mais je ne pensais pas qu'un boitier pouvait exister sans tout simplement. 

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Pourquoi j'aime World of Warcraft

Le 26 février 2024 / Aucun commentaire

Wow, c'est un jeu auquel je joue depuis maintenant presque 18 ans.

Mon dieu, 18 ans ça commence à faire long pour un jeu. Pourtant, lorsque je me retrouve devant la page de sélection de mes persos j'ai toujours les mêmes sensations. Tous ces avatars sur l'écran avec lesquels j'ai partagé des heures de jeu se présentent devant moi. Ils sont là, à m'attendre, avec leur équipement minutieusement choisi pour correspondre au mieux à la projection que je me fais d'eux. Mais, il y en a un pour qui c'est différent, il est à part, tout en haut de la liste. Mon démoniste qui porte le même pseudo que moi. C'est au travers cet avatar, un ingénieur mineur de profession, que j'ai vécu le plus de choses dans World of Warcraft. Et après autant d'année, je m'amuse toujours autant avec lui à parcourir les vastes terre d'Azeroth.

J'ai commencé le jeu durant la première extension Burning Crusade. J'ai fait plusieurs pauses, parfois d'un an, mais rarement moins, et après autant d'année de jeu, j'y retourne régulièrement pour faire avancer mon aventure… mais après autant d'année de jeu, pourquoi je l'aime tant ce jeu ?

Tout d'abord, le contenu est gigantesque, il y a toujours quelques chose à y faire et je découvre toujours de petits trucs à finir. Je pense que c'est une des choses qui me fait aimer pleinement le jeu, son contenu abyssal. Les zones à découvrir sont immenses, il m'arrive de temps en temps de revenir sur des vieilles régions mises de côté pour "plus tard" et de découvrir qu'il y a un petit truc à débloquer comme un jouet ou une mascotte que je n'avais pas vu la 1ʳᵉ fois. Et les "vieilles" zones, même si elles ne sont plus le centre d'activité de l'extension, elles sont encore (et même de plus en plus) réutiliser pour faire avancer l'histoire actuelle, ce qui ne fige pas complètement l'ancien monde et nous donne cette sensation d'un univers vivant. D'ailleurs les détails sont placés aux petits oignons et il m'arrive de découvrir un panneau de boutique particulièrement bien foutu ou avec des petits détails marrant auquel je n'avais pas fait attention avant, bien que j'y sois passé devant des dizaines et des dizaines de fois.

Et là, je ne parle que des zones géographiques du jeu, de l'espace dans lequel on évolue, je ne parle pas des combinaisons race/classes/professions qui permettent à tous de trouver le gameplay qui convient, ni des modes de jeu que ce soit PvE PvP ou la chasse à la collection des mascottes, ou celle des montures, et encore moins des Haut Fait.... et j'allais oublier le trading, où l'art de se faire des PO (Piece d'Or) avec l'hôtel des ventes ou encore monter ses métiers pour devenir un artisan reconnu dans la capitale. Quitte à me répéter, le contenu de WoW me retourne le cerveau.

Comme je le disais au début de cet article, il y a quelques chose de viscérale qui nous lie avec notre avatar, enfin, je ne pense pas que ce soit le cas pour tout le monde, mais pour moi, ce fut le cas. J'ai passé du temps à trouver la classe, à jouer et à peaufiner son apparence et une fois fait on s'y attache, il devient comme un prolongement de soi-même. Pour moi, c'est mon personnage principal, mon main comme on dit, le démoniste sigmedic. On fait progresser son personnage au fil des extensions, au fil des patchs, on lui fait vivre des aventures ou plus tôt, nous vivons à travers cet avatar des aventures uniques. Nous croisons et rencontrons des personnages et lieux mythiques.

Mais pour que tout cela soit bien retranscrit, il faut un univers bien décris qui nous donne l'impression d'avoir quelques choses de consistant. Sans faire des arcs narratifs compliqués, cette cohérence nous donne un support sur lequel nous pouvons progresser. À travers les livres et autres ouvrages sortis en librairie, l'univers de Wow est devenu imposant, au point ou des youtubeurs prennent le temps d'expliquer par morceaux des parties de l'histoire de wow pour bien saisir des nuances qui pourraient nous échapper.

J'aime me balader dans wow et tomber sur une statue mémorial d'un personnage iconique de la saga, ou sur des références du lore qu'il soit contemporain à notre aventure ou non. Tous est réfléchi, pas de place au hasard, pas génération procédurale. S'il y a une tribu de troll dans un coin c'est qu'il y a une raison dans l'histoire de la région où dans l'histoire des trolls. Et c'est la même logique pour l'ensemble du contenu dans Worl of Warcraft.

Vivre dans cet univers en devient exaltant, car nous jouons dans un univers qui devient à nos yeux vivant. Nous attendons la prochaine extension et patch comme le nouvel épisode d'une série que nous ne voulons pas louper, nous continuons à faire vivre notre avatar, car quelque part à travers lui c'est un peu nous que nous continuons à faire vivre et qui nous survivra peut-être (comme c'est le cas des mémoriaux de vraies personnes dans le jeu, ou contenu de tout genre et autres ester eggs en références à des joueurs parfois décédés)

Et toi à quoi tu joues ?

Celui qui a acheté une montre mécanique

Le 24 février 2024 / Aucun commentaire

Je me souviens bien de ma 1ʳᵉ montre. Mes parents me l'avaient acheté suite à un soir d'été où j’étais rentré très tard après une balade à vélo dans les bois. Ils s’étaient inquiété de pas me voir revenir à la maison alors qu'on s'approchait dès 21H et qu'habituellement, j'étais à cette heure-ci en train de digérer le repas du soir devant la TV. J'avais à peine neuf ans, je pense et j'utilisais le soleil pour avoir une grossière idée du moment de la journée... forcement proche du solstice, c'était la méthode la plus foireuse. Bref, quelques jours après mon explication que je n'avais aucune notion de temps qui s'était écoulée, j'ai eu ma première montre. J'étais tout content et me souvient que c'était une montre avec des aiguilles, signe incontestable de sa valeur aux yeux de l'enfant que j'étais.

Année 90, j'ai eu une montre à quartz avec affichage numérique comme cela se faisait beaucoup à l'époque. Après celle-là, je ne me souviens pas très bien des modèles de montre que j'ai pu avoir. C'était pour moi un outil de mesure de l'heure, point barre, quelque chose de fonctionnel dont l'esthétique importait peu et passait bien après le critère du prix et de la fonctionnalité.

Petit rappel pour les plus jeunes, fin 98 arrivé à la FAC, je devais encore avoir une montre, car les smartphones n'existaient pas à l'époque. Puis j'ai rencontré Gam, celle qui allait devenir ma compagne pour le reste de ma vie. J'aimais beaucoup sa façon de voir la vie qui était nouvelle et inspirante pour moi. Elle n'avait pas de montre, ou rarement parce que ce n'était pas quelque chose d'aussi indispensable (quelle drôle d'idée). Elle avait tout à fait raison, je pense que l'heure doit être l'information que l'on trouve partout autour de soit.... encore plus en ville. Puis j'ai travaillé longtemps où le port de la montre était interdit… jusqu'à l'arrivée des montres connectée.

En 2014 ou 2015 j'utilisais une redmi band 2 autour de ma cheville, la vibration me permettait de m'informer discrètement de la réception d'un SMS et en dehors du boulot me servait de montre. J'en ai testé plusieurs de ces montres/bracelets connectées, car je voyais une valeur étendue à la simple information de l'heure. Podomètre, notification en tout genre, capteur de So2, fréquence cardiaque, bref, c'est bien plus complet qu'une montre indiquant simplement l'heure.

Puis en 2020, ma conscience écologique, minimaliste, m'a rattrapé. Ce n'est pas parce qu'on peut le faire, qu'on en a besoin. Effectivement, ai-je besoin de toutes ces mesures ? irrémédiablement la réponse est non. Le bracelet connecté devient alors un gadget remplie d'électronique, nécessitant in fine des métaux rare et si vous n'êtes pas sensible sur ce sujet, alors je vous invite à écouter Aurore Stefan ou voir cet article.

Bref, retour aux sources, une montre, c'est pour donner l'heure, et c'est mon seul réel besoin. Je veux  une montre sans électronique... donc pas de quartz (bien qu'il y en a très peu) mais quitte à aller au bout des choses, une montre mécanique suffit. Après quelques recherches et quelques semaines de réflexion, je me suis lancé et mon dévolu est tombé sur une montre de marque biélorusse, Luch. Il s'agit d'une montre mono aiguille mécanique simple, j'ai beaucoup aimé l'idée "on est pas à 5 min prés".

Puis il y a peu, avec mon nouveau boulot, où clairement, 5 minutes comptent, j'ai voulu essayer une montre mécanique automatique. Plus précise et sans à me soucier à la remonter. Je ne mets pas la Luch au placard pour autant et devient la montre des vacances.

Au début la bambino de Lorient (photo ci-dessus) était mon objectif d'achat, puis il fallait être plus raisonnable pour une montre de travail dont je ne savais pas combien de temps, elle allait tenir avec les aléas du quotidien. Je voulais par conséquent en trouver une à moins de 80€. À ce prix, pas de chichi, pas de blabla, il faut regarder du côté des mod. 

Les mod ne sont ni plus ni moins, un cœur de vraie montre que les revendeurs vont assembler avec les autres éléments d'une montre afin de les personnaliser. J'ai trouvé la marque chinoise Cadisen qui propose un choix varié à des prix serrés. Allez hop, attente de deux semaines et j'ai reçu la belle trouvée sur aliexpress. Grande tristesse pour moi, car je n'ai pas trouvé d'équivalent en Europe. 

La prochaine sera soit la bambino ou peut être une à monter soi-même :)